Sur le voile de Jeanne d'Arc !!! J'accuse* ! (1re partie)
Actualité
Il y a des choses qui se disent et qui resteront indélébiles dans notre société. Il y a des personnes qui sont volontairement amnésiques et dont leur funeste ambition consiste à saper la concorde ou à démoraliser les ambitions. Il y a des hommes forts qui conservent leur force morale au bien-être de tout un chacun. Il y a Un État nommé « État du Sénégal » qui soutient un débat dangereux pour la cohésion interconfessionnelle. Cet Etat, je l’accuse !!!
Dans ce cas précis où les esprits confus installent une désinformation continuelle, où les esprits faibles jettent l’anathème sur l’enseignement privé catholique en instaurant un débat sur un voile inexistant :
J’accuse l’État du Sénégal de saper le moral des écoles privées catholiques !!!
J’accuse l’État du Sénégal qui profite d’une décision interne de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc pour instaurer un discours vide, insipide et terne.
J’accuse l’État du Sénégal qui se permet d’occulter les dispositions internes des écoles privées catholiques. Dispositions qui n’enfreignent en rien les convictions religieuses de chaque sénégalais.
J’accuse l’État du Sénégal de ne pas respecter les personnes qui officient dans ces écoles. Les responsables de ces écoles sont aussi respectables que ceux du public.
J’accuse l’État du Sénégal qui se permet d’occulter les vrais problèmes du système éducatif pour faire dans le tâtonnement et l’amateurisme : vilains vices incarnés par de « petits responsables » dont l’égoïsme gangrène et affecte leur quotidien.
J’accuse l’État du Sénégal qui s’en prend à une structure qui a formé des cadres de ce pays !
J’accuse l’État du Sénégal qui risque de faire dans la discrimination si elle ne change pas sa manière de gérer les écoles : les performances de certaines écoles privées catholiques sont passées sous silence. Leurs enseignants ne sont pas soutenus. L’enseignement privé catholique est le grand oublié du système éducatif.
J’accuse l’État du Sénégal pour son mutisme sur ce qui se passe dans certaines structures éducatives du pays qui ne respectent en aucun cas la réglementation scolaire.
J’accuse l’État du Sénégal qui cautionne des comportements bien plus graves dans ce pays. L’on préfère stigmatiser l’enseignement privé catholique dans le but de le discréditer et freiner sa marche.
J’accuse l’État’ du Sénégal qui peine à mettre tous les sénégalais sur le même pied.Maleureusement tous les élèves sénégalais n’ont pas le même traitement, tous les enseignants n’ont pas le même traitement. Parfois, l’on snobe le privé catholique dans certains programmes éducatifs. Je n’en veux pour preuve que la fâcheuse omission des autorités envers une école qui ne devait pas avoir le même traitement que les autres. Je veux nommer le petit séminaire Saint Joseph de Ngazobil, une école d’excellence qui a vu défiler des sommités de ce pays (Léopold Sédar SENGHOR par exemple).Etant une école du privé catholique formant les futurs prêtres, elle devait bénéficier des mêmes avantages que des écoles telles que Mariama BA et consorts. Ce qui est fait dans cette structure est insuffisant. Arrêtons de stigmatiser l’Institution Sainte Jeanne d’Arc pour une disposition interne qui n’a pour objectif que l’harmonie.
J’accuse l’État du Sénégal qui occulte le vendredi saint et les dimanches de l’année : des élèves catholiques sont obligés d’aller à l’école le vendredi saint, jour de la passion du Christ sous peine de sanction. Des concours sont organisés parfois les dimanches au moment où certains élèves, étudiants ou fonctionnaires doivent aller à la messe. Des informations capitales parviennent tardivement aux directeurs et préfets du privé catholique. Malgré tout, certaines écoles font des pieds et des mains pour se positionner au sommet.
J’accuse l’État du Sénégal pour avoir oublié que depuis des lustres, nous vivons en parfaite harmonie avec nos frères de confessions différentes. Les écoles privées catholiques sont le socle qui forme l’homme dans sa totalité. Il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais de discrimination entre les élèves du privé catholique. La raison ne le cautionne pas. Aussi les principes voudraient-ils que « l’humain » surpasse nos modestes personnes.
J’accuse l’État du Sénégal qui oublie que les élèves doivent être sur le même pied dans les structures éducatives : pour ne pas créer de frustrations, il vaut mieux prévenir. Nous savons tous que le monde évolue, les habitudes physiques et morales de même. Il faut donc encadrer et proposer des dispositions qui garantissent la cohésion et l’harmonie dans les écoles.
J’accuse l’État du Sénégal qui manque de diligence dans la résolution de certains conflits dans le domaine de l’éducation.
J’accuse l’État du Sénégal qui accuse l’Institut Sainte jeanne d’Arc qui ne désire qu’éduquer comme la plupart des écoles privées catholiques.
Nous éduquerons tous les enfants de ce pays. Aucune discrimination ne sera faite !!!
Apprenons à respecter les libertés garanties par la Constitution de ce pays.
*j’accuse : en référence au « j’accuse » d’Emile Zola (lettre à M. Félix FAURE)
Blaise Guignane SENE
Enseignant dans le privé catholique.
Dans ce cas précis où les esprits confus installent une désinformation continuelle, où les esprits faibles jettent l’anathème sur l’enseignement privé catholique en instaurant un débat sur un voile inexistant :
J’accuse l’État du Sénégal de saper le moral des écoles privées catholiques !!!
J’accuse l’État du Sénégal qui profite d’une décision interne de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc pour instaurer un discours vide, insipide et terne.
J’accuse l’État du Sénégal qui se permet d’occulter les dispositions internes des écoles privées catholiques. Dispositions qui n’enfreignent en rien les convictions religieuses de chaque sénégalais.
J’accuse l’État du Sénégal de ne pas respecter les personnes qui officient dans ces écoles. Les responsables de ces écoles sont aussi respectables que ceux du public.
J’accuse l’État du Sénégal qui se permet d’occulter les vrais problèmes du système éducatif pour faire dans le tâtonnement et l’amateurisme : vilains vices incarnés par de « petits responsables » dont l’égoïsme gangrène et affecte leur quotidien.
J’accuse l’État du Sénégal qui s’en prend à une structure qui a formé des cadres de ce pays !
J’accuse l’État du Sénégal qui risque de faire dans la discrimination si elle ne change pas sa manière de gérer les écoles : les performances de certaines écoles privées catholiques sont passées sous silence. Leurs enseignants ne sont pas soutenus. L’enseignement privé catholique est le grand oublié du système éducatif.
J’accuse l’État du Sénégal pour son mutisme sur ce qui se passe dans certaines structures éducatives du pays qui ne respectent en aucun cas la réglementation scolaire.
J’accuse l’État du Sénégal qui cautionne des comportements bien plus graves dans ce pays. L’on préfère stigmatiser l’enseignement privé catholique dans le but de le discréditer et freiner sa marche.
J’accuse l’État’ du Sénégal qui peine à mettre tous les sénégalais sur le même pied.Maleureusement tous les élèves sénégalais n’ont pas le même traitement, tous les enseignants n’ont pas le même traitement. Parfois, l’on snobe le privé catholique dans certains programmes éducatifs. Je n’en veux pour preuve que la fâcheuse omission des autorités envers une école qui ne devait pas avoir le même traitement que les autres. Je veux nommer le petit séminaire Saint Joseph de Ngazobil, une école d’excellence qui a vu défiler des sommités de ce pays (Léopold Sédar SENGHOR par exemple).Etant une école du privé catholique formant les futurs prêtres, elle devait bénéficier des mêmes avantages que des écoles telles que Mariama BA et consorts. Ce qui est fait dans cette structure est insuffisant. Arrêtons de stigmatiser l’Institution Sainte Jeanne d’Arc pour une disposition interne qui n’a pour objectif que l’harmonie.
J’accuse l’État du Sénégal qui occulte le vendredi saint et les dimanches de l’année : des élèves catholiques sont obligés d’aller à l’école le vendredi saint, jour de la passion du Christ sous peine de sanction. Des concours sont organisés parfois les dimanches au moment où certains élèves, étudiants ou fonctionnaires doivent aller à la messe. Des informations capitales parviennent tardivement aux directeurs et préfets du privé catholique. Malgré tout, certaines écoles font des pieds et des mains pour se positionner au sommet.
J’accuse l’État du Sénégal pour avoir oublié que depuis des lustres, nous vivons en parfaite harmonie avec nos frères de confessions différentes. Les écoles privées catholiques sont le socle qui forme l’homme dans sa totalité. Il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais de discrimination entre les élèves du privé catholique. La raison ne le cautionne pas. Aussi les principes voudraient-ils que « l’humain » surpasse nos modestes personnes.
J’accuse l’État du Sénégal qui oublie que les élèves doivent être sur le même pied dans les structures éducatives : pour ne pas créer de frustrations, il vaut mieux prévenir. Nous savons tous que le monde évolue, les habitudes physiques et morales de même. Il faut donc encadrer et proposer des dispositions qui garantissent la cohésion et l’harmonie dans les écoles.
J’accuse l’État du Sénégal qui manque de diligence dans la résolution de certains conflits dans le domaine de l’éducation.
J’accuse l’État du Sénégal qui accuse l’Institut Sainte jeanne d’Arc qui ne désire qu’éduquer comme la plupart des écoles privées catholiques.
Nous éduquerons tous les enfants de ce pays. Aucune discrimination ne sera faite !!!
Apprenons à respecter les libertés garanties par la Constitution de ce pays.
*j’accuse : en référence au « j’accuse » d’Emile Zola (lettre à M. Félix FAURE)
Blaise Guignane SENE
Enseignant dans le privé catholique.
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